Newsletter Avril 2020

  • Newsletter ACF Rhône-alpes

    NEWSLETTER | AVRIL 2020

    EDITORIAL

    « J’ai réservé la cuisine. »1

    L’Association de la Cause Freudienne en Rhône-Alpes tient toujours le fil. Certes, nombre de ses activités et événements ont été reportés, comme ceux de l’Ecole de la Cause Freudienne, dont nous nous étions fait l’écho dans notre dernière Newsletter. Après un premier temps de sidération qui nous a laissés sans voix, nous obligeant à parer au plus pressé, nous voici dans le temps d’après de l’annonce, dans la perspective de ce confinement qui impose ses conditions.

    Etrange expérience que ce confinement. Expérience d’un rétrécissement de notre espace, à la fois familier et teinté d’étrangeté. Le temps s’y étale, pourtant saturé, gros justement de sa dilatation… Occasion de vérifier que si l’automaton nous soutient dans notre quotidien, pour autant, sans les « trous » qui le perforent, il nous abandonne à nous-mêmes, anesthésiés ou suractivés.

    Un contexte peu disponible à la parole analysante ? et pourtant, celle-ci se donne à entendre, de mille façons, redistribuant l’espace et le temps, de manière insoupçonnée. Oui, réservons la cuisine ! Les inventions fleurissent. Elles feront enseignement pour après.

    La parole analysante est aussi celle qui peut s’exprimer dans cette modalité singulière qu’est le cartel, plus que jamais en phase avec les conditions de notre époque. Quand tout s’arrête, il nous reste le goût de la langue et de la trouvaille, tenus à la boussole épistémique. C’est ainsi que nous retrouvons avec bonheur la qualité première du cartel, sa souplesse, ce que Lacan avait voulu à son principe il y a plus de cinquante ans. Jocelyne Huguet-Manoukian, responsable des cartels dans notre région, nous invite à en user : le poursuivre, pour ceux qui y sont déjà engagés ; le créer ou le rejoindre, pour ceux qui voudraient « s’y mettre ».

    Vous trouverez dans cette Newsletter plusieurs façons de témoigner du travail qui se poursuit, avec la part d’invention de chacun. Celle-ci s’oriente du discours de la psychanalyse lacanienne, pour rester au plus près de la corde qu’il nous donne. Dans cet esprit, nous ouvrons une nouvelle rubrique, « Au temps du confinement ». Elle recueille de petites productions orientées par l’effort de bien-dire, dont les membres de l’ACF en Rhône-Alpes sont les auteurs, en lien avec la psychanalyse au temps du confinement. « Si l’École est composée, selon le mot de Lacan, d’épars désassortis, c’est justement de cette solitude de structure que nous pouvons faire lien social. Ce lien social, dans ce moment inédit, c’est à nous de l’inventer. » (Laurent Dupont, site de l’ECF)

    La newsletter de l’ACF en Rhône-Alpes poursuivra sa parution régulière. Toutes les questions, ainsi que les textes (maximum 3000 signes espaces compris) que vous proposerez au comité de lecture, seront bienvenues, à l’adresse de la délégation : acfradelegation@gmail.com.


    Véronique Herlant, Déléguée régionale

     

    123 mars 2020, parole d’analysant

    CARTELS

    Par Jocelyne Huguet-Manoukian

    Lettre aux membres des cartels et à ceux qui souhaitent commencer un cartel.

    L’irruption et la propagation du coronavirus a plongé le monde du XXI ième siècle dans une crise sanitaire d’envergure mondiale. Si invisible et infiniment petit qu’il soit, le virus inconnu fait trauma. Le covid 19 se présente comme un des noms du réel. Tous les continents sont soumis à l’arrêt pour en réguler la propagation. Face à cet immobilisme inédit, avançons nous avec le déplacement que produit le discours analytique. Lacan a revisité son enseignement tout au long de ses séminaires. Il ne s’est jamais arrêté. Si « le réel est ce qui git toujours derrière l’automaton » , le confinement, parce qu’il touche à nos limites, vient faire émerger le poids du réel avec lequel, parlêtre, nous sommes « lestés ».

    « L’élaboration soutenue » dans un petit groupe nommé Cartel et dont J. Lacan a fait l’organe de base de l’Ecole nous invite à alléger ce poids et à produire du savoir, à extraire des bouts de savoir du réel innommable, partant de ce qui, pour chacun de nous, fait insigne. Proposons en cette période de confinement généralisé qui resserre la limite du chez-soi au point de nous mettre en risque d’exil intérieur solitaire, de ne pas rester Un tout seul et de reprendre la parole dans les cartels avec les plus Un.

    Parce que les cartels ont la même structure, ils sont aussi tous différents. Comment continuer là où le cartel suppose avant tout un déplacement en corps ? J’invite ceux qui en ont le désir à inventer momentanément des solutions susceptibles de permettre à chacun de continuer à y aller de sa parole, donc de son corps à partir de la voix. Dans ce cas vous pouvez trouver des moyens techniques propices au style de votre cartel afin de continuer le travail engagé à partir de vos sujets personnels dans le cadre du thème commun qui vous réunit . Je propose aussi que cette période permette pour d’autres d’intensifier l’écriture des produits de cartels qui sont en cours afin de les diffuser et de faire connaître , et aussi de faire le projet des nouveaux cartels à venir. Ceux qui ont le désir de travailler en cartel peuvent se faire connaitre, je suis disponible pour recueillir les nouvelles demandes, vous mettre en contact et répondre à vos questions.

     

    Options techniques pour les cartels pendant le confinement

     

    Exemple sur google :

    - Il faut que l’organisateur de l’événement ait une adresse gmail et à partir de cette adresse un compte google (proposé dans gmail)

    - Ouvrir gmail

    - Aller dans l’agenda en haut à droite

    - Prévoir un événement : c’est-à-dire cliquer sur un jour et un horaire dans l’agenda

    - Cliquer sur « Add Guests » : puis entrer les adresses des invités (pas forcément des adresses gmail mais c’est mieux)

    - Cliquer sur Save

    - Agenda propose « envoyer ? » : cliquer sur sent

    - Revenir sur événement : cliquer sur le dessin du stylo : cliquer sur « add conferencing » puis sur Hangouts

    - Cliquer sur Save puis sur sent

    - Chacun reçoit une invitation

    - A l’heure de l’événement (du cartel) chacun se connecte

    - Cliquer sur join hangouts. Participer au Hangout

    - Raccrocher pour quitter.

    - Pour que ça marche, tous les participants doivent avoir accès à google chrome.

    Il y a d’autres applications possibles pour se retrouver en visioconférence, par exemple Whereby à laquelle on peut avoir accès depuis un ordinateur ou depuis un smartphone, gratuit dans l’Applestore ou sur Android.

     

    Corinne Marcilly, contact par mail : co.marcilly@gmail.com

     


    Les textes peuvent être proposés à Cartello, publication électronique apériodique, écho des travaux élaborés en cartel.

    https://www.causefreudienne.net/cartello

    Commission Autisme

    Singularités et perspectives

    Par Jocelyne Huguet-Manoukian et Geneviève Valentin

    La commission participe activement aux travaux du CERA, Centre d’Etudes et de Recherche sur l’Autisme. Elle concourt à recueillir, rassembler, en Rhône-Alpes, toutes les informations qui touchent de près ou de loin la question de l’autisme, sa prise en charge, son traitement, les politiques mises en place etc… Ces observations de l’actualité de l’autisme en France sont recueillies par Patricia Wartelle, secrétaire du CERA qui représente l’ECF, au sein de l’Observatoire sur l’autisme de l’Eurofédération de psychanalyse dont Bruno de Halleux est le coordinateur.

    Vos propres retours, depuis vos expériences, ou bien toutes informations, nouveautés, actualités, en lien avec l’autisme, dont vous auriez eu connaissance, nous seront précieux, participants ainsi à notre « veille » sur la question.

    NE PAS RECULER DEVANT L’IMPOSSIBLE !

    Qu’en est-il du rapport à la psychanalyse aujourd’hui dans les établissements de soins ? Depuis la découverte freudienne, les attaques contre la psychanalyse n’ont jamais cessé. Elles ont changé de forme. Dans notre XXIème siècle naissant, elles se radicalisent au nom de la science. L’opposition se répand par pétitions contre la présence des psychanalystes dans les tribunaux, dans les lieux de soins, auprès des personnes souffrant de troubles autistiques, dans les formations, par rejet parfois massif dans plusieurs hôpitaux psychiatriques … Pourtant, sur le terrain, dans les établissements qui accueillent les enfants, les adolescents et les adultes nous observons désormais des contre-effets sensibles.

    Comme le rappelait J.-A. Miller au début de son cours « Choses de finesse en psychanalyse » le 12 novembre 2008, si la psychanalyse est encore aujourd’hui jugée sur ses effets curatifs par le monde contemporain, c’est à l’envers de ce que la psychanalyse « vaut comme moyen d’émergence d’un désir inédit ». Là où le symptôme, qui peut se réduire, nous le savons depuis Freud, laisse toujours des restes, il y a l’incurable avec lequel nous sommes à l’ouvrage. C’est dans cet esprit que, juste avant le confinement, une journée de travail eu lieu en Rhône Alpes dans un dispositif ITEP regroupant un peu plus d’une cinquantaine de professionnels, nouveau dispositif, qui dépasse comme le disent les textes, la logique des établissements et doit réduire les capacités d’internat, en facilitant dès l’âge de 5 ans, la prévention, le repérage, le dépistage et l’accompagnement. Dans ce cas précis nous avons pu engager, lors de cette journée avec les professionnels et leur direction, une discussion débat sur ce que recouvre le terme de trouble quand on lui associe psychisme, symptôme, psychose, autisme chez l’enfant. Le débat fut particulièrement riche et animé. Les gardiens de nuit, les employés de services techniques d’entretien participèrent au débat au même titre que les psychiatres, psychologues, éducateurs, orthophonistes… Les différents professionnels abordèrent l’impossible avec lequel chacun se débrouille au jour le jour, au cas par cas, et qui échappe au chiffrage collectif. De ce travail émergea une demande : mettre en place un dispositif de supervision dans ce nouveau contexte, pour ne pas reculer devant l’impossible.

    Partenaire : CPCT

    Par Geneviève Valentin, pour le bureau du cpct

    Depuis le 16 mars le CPCT Lyon a décidé de fermer ses portes pour les rencontres des corps dans ce contexte de pandémie que nous traversons.

    Le CPCT a aussi choisi de continuer à répondre à tous ceux qui s’adressent à lui, d’abord avec une permanence téléphonique quotidienne, puis avec chaque praticien qui propose à ceux qu’il a déjà rencontrés de maintenir un lien dont la modalité se construit de façon particulière avec chacun (téléphone, mail , sms…).

    Au CPCT nous apprenons à compter avec le temps : temps actualisé par le mode de présence du praticien, temps de celui qui tel un voyageur vient à notre rencontre et ce temps a horreur des montres et des conventions. Dans chaque traitement une temporalité se construit.

    Aussi le CPCT n’a pas pris le parti de l’attente et de la suspension dans ce temps étiré du confinement qui peut raviver isolement, angoisse, insupportable proximité avec l’autre...Se faire responsable du réel qui surgit, exacerbé par cette pandémie et ses conséquences nous pousse à chercher des voies pour le traiter.

    Faire signe de notre présence et nous tenir en éveil pour que de l’inattendu surgisse : ce qui ne manque pas dans la façon dont chacun s’en saisit ou pas. Des mots s’écrivent, d’autres se disent au téléphone, un dire se produit, des silences se font entendre, des RV se prennent, d’autres se reportent : autant de scansions dans cette sensation d’éternel présent. Misons sur l’inattendu qui au CPCT prend chaque fois la mesure que la parole ne se prend pas sans le corps, même à distance des corps.

    « Que doit-il être, que peut-il être ce désir de l’analyste, pour se tenir à la fois en ce point de suprême complicité, complicité ouverte, ouverte à quoi ? A la surprise. »1

     

    1Lacan J. Séminaire livre XII « Problèmes cruciaux pour la psychanalyse », leçon du 19 mai 1965, inédit.

    PARUTION

    L'art e(s)t la sublimation

    Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution du livre de notre collègue Patrick Hollender, sous le titre "L'art e(s)t sublimation". L'ouvrage est préfacé par Jacqueline Dhéret. Nous lui réserverons un accueil particularisé, engageant les corps et les présences, lorsque le moment sera venu de retrouver nos activités. Pour l'heure, nous pouvons lui accorder notre attention, et noter la perspective d'une lecture enseignante.

    Lire la 4ème de couverture

    Ecole de la Cause Freudienne

    Il existe de multiples façons de garder le fil avec l'ECF, à l’heure où les annonces de ses activités et des événements sont par la force des choses suspendues. Vous trouverez sur son site plusieurs occasions de lectures, de références, d'invitations à explorer des contenus. Soulever les onglets, cliquer les titres, feront d’une lecture chemin singulier.

    Site ECF

    Autre boussole, la lecture précieuse de Lacan Quotidien, permettant de rester à la pointe de notre actualité, d’interroger la « spire de notre époque », dont Lacan faisait horizon pour le psychanalyste.

    LQ

    AU TEMPS DU CONFINEMENT

    Notre collègue Françoise Guérin nous fait savoir que les Editions Au diable Vauvert offrent une partie de leur collection en Ebooks gratuitement durant le temps du confinement.

    Lire

    25 mars 2020

    Confinement?

    Par Corinne Marcilly

    Confiné : être très proche de quelque chose1
    Confiné : être isolé2

    28 février 2020 : évitez les lieux confinés !
    17 mars 2020 : restez confinés ! Début du « confinement ».

    Le signifiant « confinement », qui contient deux sens opposés, être trop proches, presque à fusionner, et être isolé, semble être un signifiant indissociable du covid-19.

    Freud, dans un article de 1910, intitulé « Des sens opposés dans les mots primitifs »3 reprend un passage de la Traumdeutung pour nous rappeler que « la manière dont le rêve exprime les catégories de l’opposition et de la contradiction est particulièrement frappante : il ne les exprime pas, il paraît ignorer le « non ». Il excelle à réunir les contraires et à les représenter en un seul objet. Il représente souvent aussi un élément quelconque par son contraire, de sorte qu’on ne peut savoir si un élément du rêve, susceptible de contradiction, trahit un contenu positif ou négatif dans la pensée du rêve »4.

    Dans cet article de 1910, Freud s’intéresse à la naissance de la langue et au fait que les Egyptiens utilisaient un même mot pour désigner une chose et son contraire. Il en déduit que nos concepts prennent naissance par une comparaison, et que l’inconscient ignore les contraires.

    On ne sait plus si le covid-19 nous isole ou nous rapproche mais peut-être que d’une certaine manière il en résulte un floutage des différences entre les uns et les autres, comme si face à lui nous la tentation était de tous s’identifier, nous les humains. En témoignent tous ces élans de solidarité appelant à être « tous ensemble ».

    Il se trouve que plusieurs de mes patients ont été amenés à me dire : « moi, le confinement, je le vis déjà depuis longtemps, je suis content(e) que tout le monde le vive, je me sens moins seul(e) ».

    Entre isolement et fusion, la question du confinement semble ainsi inviter chacun à se repositionner subjectivement, dans son identification propre et/ou aux autres.

     

    1Dictionnaire Larousse

     

    2Dictionnaire Larousse

     

    3Freud,S. Des sens opposés dans les mots primitifs 1910. Traduit de l’allemand par Marie Bonaparte et Mme E. Marty, 1933. Essais de Psychanalyse appliquée. Paris, Gallimard, 1933. Coll. Idées, nrf. p.59

     

    4Freud,S. La Science des Rêves. Trad Meyerson, Paris, Alcan , 1926. p.285

    L’acte analytique au temps du confinement

    Par Patrick Hollender

    Les circonstances exceptionnelles des mesures de confinement, visant à enrayer la propagation du Covid-19, ne sont pas sans effet sur l'acte analytique. Comme de nombreux praticiens, j'ai suspendu temporairement mon activité en cabinet ainsi que dans les établissements dans lesquels j'interviens. Il s'agit là d'un acte éthique, pour tenir compte du réel qui est en jeu. La suspension provisoire de la présence des corps pousse à inventer d'autres manières de pratiquer. Le confinement a déplacé l'objet-regard sur l'objet-voix, à partir d'entretiens téléphoniques que j'ai maintenus à la demande d'analysants, comme celle du silence pour certains autres. L'acte de l'analyste, qui participe d'un "je ne pense pas", dans l'instant même où il est introduit pour faire signe qu'un changement de discours est attendu, s'appuie en temps ordinaire sur cette présence incarnée. L'analyste occupe la place du désir, c'est-à-dire du trou, du vide. Il scande par son acte, le sceau d'une incomplétude. L'objet-regard s'est lui aussi confiné en s'effaçant au profit de la pulsion invocante à l'heure du confinement. Il n'y a plus grand monde à voir dans les rues désertées, si ce n'est à la tombée du jour, les applaudissements sonores de la solidarité humaine en hommage au personnel soignant. En refermant la porte du confinement, le lien social perdure autrement par l'ouverture des...fenêtres !

    Le Covid-19 est venu ouvrir une faille dans le savoir de la science. Si nous avons plus que jamais besoin de la recherche scientifique pour mettre au point des tests sérologiques, avancer dans la recherche de traitements et de vaccin pour rayer de la carte cette pandémie qui est venue, tel un coup de tonnerre dans un ciel serein, bouleverser nos habitudes de vie, celle-ci n'a pas à être confondu avec l'acte de l'analyste, qui selon Lacan ne doit pas s'égarer dans le champ du savoir de la psychologie ou de la médecine. Son acte consiste à "rayer de la carte le sujet-supposé-savoir"1, "car il sait le chemin à reparcourir, au désêtre du SsS, à n'être que le support de a"2. Il dit aussi : "La place où doit se tenir l'analyste n'est pas le sujet de la connaissance mais instrument de révélation"3.

    Marie-Hélène Brousse4 avance qu'il n'y a pas eu d'instant de voir car nous sommes passés directement dans un temps pour comprendre. Il se pourrait bien que même confiné, l'analyste tienne toujours cette place vide pour son analysant, même si les séances restent pour le moment, en suspens. La période déréelle que nous traversons, ne sera pas sans incidence subjective sur les transformations du symptôme dans le lien social, ni sur ce qui dans l'après-coup a pu faire traumatisme, là où l'objet a du regard s'est dérobé au temps du confinement.

     

    1Lacan J. L'acte psychanalytique, Séminaire Livre XV (1967-1968), Leçon IX, 7.02.68, inédit.

     

    2Lacan J. Ibid., Leçon VI, 17.01.68, inédit.

     

    3Lacan J. Ibid., Leçon XV, 27.03.68, inédit.

     

    4Brousse M-H., Les temps du virus, Lacan Quotidien n°876, 25 mars 2020.

    ANNECY - GRENOBLE - LYON - VALENCE

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    Association de la Cause Freudienne, chez Véronique Herlant, 3, rue Jangot, 69007 Lyon.

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